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Une fille de 17 ans décède à la suite d’un choc toxique provoqué par un tampon hygiénique

Maëlle, originaire de la province de Namur est morte la semaine dernière à cause d’un choc toxique provoqué par un tampon.

Tout commence lundi dernier. La jeune femme ne sent pas bien. Elle est victime de nausées, de vomissements, et de fièvre. Pour le médecin de garde, appelé par la famille, il s’agit d’une gastro-entérite. Le lendemain, Maëlle ne va toujours pas bien. Et là, ses parents décide de l’emmener à l’hôpital. Encore une dois, pour les médecins elle souffre d’une simple gastro.

Ce n’est qu’après avoir été prise en charge par un autre centre hospitaleir que l’on bon diagnostic est établi : un choc toxique. Mais malheureusement, il est déjà trop tard. Maëlle décèdera le jeudi 9 janvier. Soit 48heures après les premiers symptômes.

Les tampons hygiéniques peuvent effectivement transporter des bactéries. Ceux qu’on appelle plus communément les staphylocoques dorés. Des bactéries qui peuvent par la suite très vite proliférer dans le vagin. Et donc s’attaquer à différents organes vitaux tels que le cœur, le foie ou encore les reins. C’est ce qu’on appelle le choc toxique. Et le risque augmente encore plus lorsqu’une fille garde le même tampon trop longtemps. D’après la mère de Maëlle, ce n’était pas le cas de sa fille qui était apparemment au courant du risque et était très vigilante.

Maëlle n’est pas la première victime du choc toxique : En 2016, Katia, une Namuroise de 16 ans est également décédée des suites d’une septicémie.

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