Contenu en pleine largeur
Suivre sur AraBel
Fajr AraBel - Du Lundi au Vendredi de 5h à 7h    Salam, bonjour ! - Du Lundi au Vendredi de 7h à 9h     L'édition de la rédaction - Du Lundi au Vendredi de 12h à 13h    Le carrefour de l'information - Du Lundi au Vendredi de 12h à 13h    Eness leness - Du Lundi au Jeudi de 14h à 15h    L'équipe de Steph - le Lundi de 17h à 19h

Live Vidéo

Live Radio

banner_image
AraBelAraBel
AraBel
Vivez la radio au pluriel !
  • Accueil
  • Programmes
    • EMISSIONS
      • Fajr arabel
      • Le carrefour de l’info
      • Raïkom
      • Au coeur de la musique
  • News
  • Contact
FacebookYouTubeInstagramSoundCloud
  • Accueil
  • Emissions
    • Fajr arabel
    • Le carrefour de l’info
    • Raïkom
    • Au coeur de la musique
  • Contact
  • Infos société

Une action en justice a été introduite par Unia et la Ligue des droits humains contre la STIB pour « discrimination à l’embauche » à l’encontre d’une femme portant le voile. Unia est l’institution qui lutte contre la discrimination et défend l’égalité des chances en Belgique.

Avec la Ligue des droits humains, Unia a donc introduit en mai dernier une « action en cessation de discrimination » devant le tribunal du travail à l’encontre de la Stib, le plus gros employeur bruxellois.

La plaignante est juriste : elle a postulé pour pour deux fonctions – « legal officer » et « business analyst » – au sein de la société bruxelloise de transports. Dans les deux cas, son évaluation était bonne, assurent Unia et la LDH, la plaignante estimant que c’est son intention de garder son voile qui a été à l’origine de son non-engagement.

La procédure en cours se distingue parce que la discrimination « intersectionnelle » sera plaidée pour la première fois. Véronique van der Plancke, de la LDH, explique : « On approche souvent la question du foulard sous l’angle de la conviction religieuse, mais c’est omettre que ce sont systématiquement des femmes qui en pâtissent. On parle d’intersectionnalité. Il ne s’agit pas juste de deux critères de discrimination qui s’additionnent. Les femmes ne sont pas discriminées en soi à la Stib, pas plus que les personnes musulmanes qui bénéficient d’ailleurs de salles de prière. C’est bien l’intersection entre le genre et la religion qui crée la discrimination. ».

La Stib conteste cette version des faits: « Si la personne n’a pas été retenue, c’est parce qu’elle ne disposait pas des compétences recherchées », insiste Françoise Ledune, porte-parole. L’audience est fixée au 23 avril prochain. Le tribunal devra alors estimer s’il y a, oui ou non, discrimination.

Navigation de commentaire

Onglet précédent Onglet précédent Inauguration de la plus grande mosquée d’Afrique de l’OuestOnglet suivantOnglet suivantApres Marrakech, C. Ronaldo veut ouvrir un hôtel à Tanger

Related Posts

Journée internationale des droits des femmes : Le Samusocial met en lumière les violences marquées faites aux femmes sans-abri
8 mars 2021
La police bruxelloise déploie des patrouilles afin de lutter contre le sexisme et le harcèlement de rue
8 mars 2021
 » Sports au féminin », la nouvelle émission d’Arabel qui met les femmes à l’honneur
8 mars 2021
Bruxelles : Le gouvernement veut garantir une représentation hommes-femmes plus équilibré
3 mars 2021
L’UBT-FGTB plaide pour discuter le modèle économique d’Uber
3 mars 2021
Bruxelles : Comeos appelle à la réouverture du secteur de l’Horeca« Nous ne pouvons plus attendre ! »
22 février 2021
Infos pratiques
  • Politique de programmation
  • Références musicales
  • Ligne éditoriale
Services
  • AraBel TV
Club arabel
  • Jeux & concours
Entreprise
  • À propos d’AraBel
  • Infos société
  • Contact
  • Recrutements
  • Mentions légales
  • Conditions d’utilisation
  • Politique de confidentialité
  • Cookies