Contenu en pleine largeur
Suivre sur AraBel
Fajr AraBel - Du Lundi au Vendredi de 5h à 7h    Salam, bonjour ! - Du Lundi au Vendredi de 7h à 9h     L'édition de la rédaction - Du Lundi au Vendredi de 12h à 13h    Le carrefour de l'information - Du Lundi au Vendredi de 12h à 13h    Eness leness - Du Lundi au Jeudi de 14h à 15h    L'équipe de Steph - le Lundi de 17h à 19h

Live Vidéo

Live Radio

banner_image
AraBelAraBel
AraBel
Vivez la radio au pluriel !
  • Accueil
  • Programmes
    • EMISSIONS
      • Fajr arabel
      • Le carrefour de l’info
      • Raïkom
      • Au coeur de la musique
  • News
  • Contact
FacebookYouTubeInstagramSoundCloud
  • Accueil
  • Emissions
    • Fajr arabel
    • Le carrefour de l’info
    • Raïkom
    • Au coeur de la musique
  • Contact
  • Infos société

13.500 manifestants pour une marche controversée contre l’islamophobie (France)

Dimanche 10 novembre à Paris, 13.500 manifestants étaient présents pour une marche controversée contre l’islamophobie. Leurs mots d’ordre : le vivre ensemble et la tolérance.

Partie de la gare du Nord à 13 heures, la manifestation, à l’appel de nombreuses personnalités et organisations tel que le NPA ou encore le Collectif contre l’islamophobie en France, devait arriver aux alentours de 16 heures Place de la Nation. « Oui à la critique de la religion, non à la haine du croyant », « stop à l’islamophobie », « vivre ensemble, c’est urgent », étaient inscrit sur les pancartes de manifestants au milieu de multiples drapeaux français. Les participants ont ajouté « Solidarité avec les femmes voilées ».

C’est le 1er novembre dans le quotidien « Libération » qu’à été lancé l’appel à la manifestation, quatre jours après l’attaque d’une mosquée à Bayonne et sur fond de débat tendue concernant le port du voile et la laïcité. Le message de départ était de dire « STOP à l’islamophobie », à « stigmatisation grandissante » des musulmans, victimes de « discriminations » et d’agressions ».

Un manifestant de l’AFP, s’est exprimé : « On vient alerter, dire qu’il y a un niveau de haine à ne pas dépasser. On est ouverts à la critique, mais il ne faut pas dépasser certaines limites dans l’agression ». 

Une femme voilée s’est également exprimée » et explique : « On entend tout et n’importe quoi sur l’islam et sur les femmes voilées aujourd’hui. On essaie de stigmatiser les musulmans, de les mettre à l’écart de la société ».

La classe politique se déchire autour de l’islamophobie depuis que l’appel à manifester a été lancé. La notion même d’ « islamophobie » mais aussi l’identité de quelques signataires ont mené une partie de la gauche à ne pas s’y allier. Certains élus, qui avaient au début signé l’appel à manifester, ont pris leur distance avec le texte et ses signataires, à l’instar de François Ruffin, qui a affirmé qu’il ne prendrait pas part à la marche.

L’homme politique français, Ian Brossat, estime qu’ « il a un climat de haine contre les musulmans ». Il ajoute : « On ne peut rester les bras ballants ».

Navigation de commentaire

Onglet précédent Onglet précédent Une Française voit sa demande d’immigration rejetée au Québec à cause de son niveau de françaisOnglet suivantOnglet suivantUne piste découverte sauvera les bus du tunnel incendié (Belgique)

Related Posts

L’invité du Carrefour de l’information : Dominique BENOIT, chef du service de Soins Intensifs à l’UZGent
17 novembre 2020
Saint-Josse-ten-Noode : Lancement des chèques « Consommons local et solidaire »
12 novembre 2020
Les inégalités au prisme de la pandémie de COVID-19
2 novembre 2020
COVID-19 et enfants (UNICEF Belgique)
30 octobre 2020
D’après des experts de l’ONU, « les pandémies vont se multiplier »
30 octobre 2020
COVID-19 : La Tunisie durcit ses restrictions
30 octobre 2020
Infos pratiques
  • Politique de programmation
  • Références musicales
  • Ligne éditoriale
Services
  • AraBel TV
Club arabel
  • Jeux & concours
Entreprise
  • À propos d’AraBel
  • Infos société
  • Contact
  • Recrutements
  • Mentions légales
  • Conditions d’utilisation
  • Politique de confidentialité
  • Cookies